Quiconque a vécu les années 70 se souvient certainement du refrain contagieux de « Reviens ma chérie« , du groupe Player. La chanson, qui mélange rocher, pop Rock, roche molle et même discoest devenu un classique instantané, atteignant le sommet des charts en 1978 et faisant du groupe l'une des promesses du rock de l'époque.
Mais l’histoire de « Baby Come Back » n’est pas seulement celle d’un succès retentissant. Des décennies plus tard, la chanson a pris une nouvelle vie entre les mains de la diva soul britannique, Lisa Stansfield, sur son quatrième album solo, sorti en 1997. Avec une version puissante et pleine d'âme, la chanteuse a prouvé que les classiques ne se démodent jamais et qu'ils peuvent être réinventés de manière surprenante.
Un peu sur le joueur
Diplômé en Los Angeles Au milieu des années 70, le Joueur a commencé son parcours en tant que quatuor qui a rapidement conquis le public avec son style rock distinct, audacieux et mélodique. Le groupe se sépare en 1982 après quelques changements de line-up, mais laisse un héritage musical durable, notamment avec le mégahit « Baby Come Back ».
En 1995, les membres de Player se réunissent pour un concert spécial, ravivant la flamme du groupe. Cependant, en 2018, une tournure inattendue des événements s'est produite : deux des membres fondateurs se sont retrouvés impliqués dans un différend juridique concernant le nom du groupe. Heureusement, l’histoire a eu une fin positive, les deux musiciens ayant obtenu le droit d’utiliser le nom de Player.
La version de Lisa Stansfield : une touche d'âme particulière
En 1997, il présente au monde sa version de « Baby Come Back ». La réinterprétation, qui faisait partie de son quatrième album solo, a apporté une touche soul particulière à la chanson originale, conquérant les fans de différentes générations.
Mais « Baby Come Back » transcende l'étiquette de simple hit des années 70. La chanson est devenue un symbole de la culture pop, marquant les générations par son rythme contagieux et ses paroles percutantes. La version de Lisa Stansfield, à son tour, rappelle que les classiques ne meurent jamais et que la musique a le pouvoir de se réinventer et d'enchanter de nouveaux publics.